Consignes aux auteurs

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Kemennoù d’an oberourien
Richtlinien für Autorinnen und Autoren

Auteurs

Sont auteurs et co-auteurs, selon l’ICMJE (International Committee of Medical Journal Editors), les personnes qui remplissent les quatre conditions suivantes (traduction française de 2018) :

1. Contributions substantielles à la conception ou aux méthodes de la recherche ou à l’acquisition, l’analyse ou l’interprétation des données ; ET

2. Rédaction préliminaire de l’article ou sa révision critique impliquant une contribution importante au contenu intellectuel ; ET

3. Approbation finale de la version à publier ; ET

4. Engagement à assumer l’imputabilité pour tous les aspects de la recherche en veillant à ce que les questions liées à l’exactitude ou l’intégrité de toute partie de l’œuvre soient examinées de manière appropriée et résolues.

Ces personnes doivent donc être mentionnées comme telles.

La revue À tradire. Didactique de la traduction pragmatique et de la communication technique invite en outre ses auteurs à se saisir de la taxonomie CRediT pour spécifier les contributions des co-auteurs, ainsi que d’autres contributeurs ne réunissant pas les conditions ci-dessus et mentionnés alors dans les remerciements. Nous proposons en annexe de la présente page une brève présentation de cette taxonomie, la traduction des recommandations pour sa mise en œuvre ainsi que des rôles proposés.

Autres liens utiles sur le sujet : CoopIST (CIRAD) en français, Committee on Publication Ethics (COPE) en anglais.

Politique linguistique

La revue À tradire. Didactique de la traduction pragmatique et de la communication technique est d’abord et essentiellement francophone. Chaque numéro est donc majoritairement constitué de contributions en langue française. Afin de favoriser la diffusion des contenus, il sera demandé aux auteurs d’articles scientifiques de fournir, outre le résumé en français, un résumé en anglais et un résumé dans une ou plusieurs autres langues au choix de l’auteur, ainsi que le titre et les mots-clés dans les langues des résumés. Tous les résumés devront se limiter à 1 000 caractères, espaces comprises.

Parce qu’il estime que la science s’enrichit du multilinguisme, qu’elle est plus créative lorsque les auteurs s’expriment dans leur « langue de cœur », le comité éditorial est prêt à étudier aussi des propositions de contributions dans d’autres langues, dans la mesure où il pourra identifier et solliciter deux évaluateurs compétents et impartiaux pour les articles, au moins un relecteur pour les autres types de contribution. Il sera alors en plus demandé aux auteurs de fournir un résumé long en français représentant environ 30 % du volume initial de leur article.

Écriture inclusive

La revue À tradire. Didactique de la traduction pragmatique et de la communication technique, sans l’imposer, accepte l’usage de l’écriture inclusive dans les articles qu’elle publie. Dans le but de favoriser la lisibilité, elle encourage toutefois la recherche de toutes les solutions possibles avant l’utilisation du point médian, de rigueur en français pour indiquer la double flexion abrégée des mots : rédaction épicène, accords de proximité et/ou de majorité, etc. On trouve en la matière de nombreuses recommandations argumentées et documentées : un article de Pascal Brunet paru en 2022, cette page de l’Office québécois de la langue française, le guide de l’Université de Montréal, la charte de la revue La Déferlante

Lorsque la double flexion abrégée au moyen du point médian s’avère, en dernier recours, la meilleure solution, nous retenons pour le français les règles suivantes :

Règle

Ne pas utiliser

Préférer

Un seul point médian par mot

fatigué·e·s, partisan·e·s

fatigué·es, partisan·es

Ne pas reprendre les consonnes du suffixe pour les mots en –teur

formateur·trices

formateur·ices

Ne pas reprendre les voyelles du suffixe, même lorsqu’elles sont censées changer

étranger·ères

étranger·es

Éviter les combinaisons de lettres difficiles à déchiffrer

abusif·ves, veuf·ves, copains·ines

équivalents épicènes, double flexion non abrégée, etc.

Éviter les formes fusionnées

toustes, lecteurices, rédacteurices, acteurices

équivalents épicènes, double flexion non abrégée, etc.

Articles en français

Mise en page

Les articles seront présentés de la manière la plus simple possible :

Mise en page : format A4, marges 2,5 cm partout, en-tête et pied de page de 1,25 cm.

Linux Libertine Display G ou Liberation Serif, taille 12, interligne simple.

Mettre un alinéa aux nouveaux paragraphes qui seront automatiquement numérotés une fois en ligne.

Les notes seront dans la même police en taille 10.

Métadonnées

Dans un fichier distinct, indiquer le titre de l’article, le nom de chaque auteur et une note biographique de 1 000 caractères maximum, espaces comprises, indiquant sa fonction, son affiliation et son domaine de compétence/de recherche.

Fournir également un résumé, de 1 000 caractères maximum, espaces comprises, et des mots-clés, leur traduction en anglais et dans une ou plusieurs autres langues du choix de l’auteur (voir politique linguistique ci-dessus).

Dans le cas d’une traduction, ajouter la mention « Publication originale en [langue] dans [référence complète de la revue ou de l’ouvrage]. Traduction : [traducteur(s)]( ; révision : [réviseur(s)]).

Texte

Numéroter les parties de cette façon :

Introduction

1.

1. 1.

1.1.1.

Éviter de dépasser trois niveaux de titres.

Ne pas faire de renvoi à des intertitres dans le texte (ex. : voir I. A.) car leur numérotation est susceptible de changer. Utiliser alors « voir infra » ou « voir supra », ou le libellé des titres en question, abrégés au besoin.

Le volume du texte sera compris entre 20 000 et 50 000 caractères, espaces comprises, soit environ 3 000 à 7 500 mots pour un article français, hors résumés, mots-clés et bibliographie.

L’usage des italiques est réservé aux titres d’œuvres, aux expressions ou mots étrangers (anglais, locutions latines, etc.). Les désignations terminologiques citées comme exemples seront ainsi en italiques dans les langues étrangères et entre guillemets en français. Si ces exemples sont nombreux, on préférera les présenter sous forme de listes ou de tableaux.

Les caractères gras et le soulignement sont à utiliser avec parcimonie.

Les majuscules sont à accentuer.

Les sigles se composent en lettres capitales et sans points, exemple : CNRS, BNF, EHESS, à l’exception de certains sigles devenus acronymes et ne conservant que l’initiale en majuscule, exemple : Unesco.

Mettre les siècles en chiffres romains en petites capitales, suivis du « e » en exposant et en romain : xixe siècle.

Quelques abréviations :

  • premier : 1er

  • première : 1re

  • second : 2nd

  • seconde : 2nde

  • troisième, quatrième, etc. : 3e, 4e, etc.

  • monsieur, messieurs : M. (et non *Mr), MM.

  • madame, mesdames : Mme, Mmes

Mettre une espace insécable devant le deux-points, le point-virgule, le point d’interrogation, le point d’exclamation et le signe pour cent (: ; ? ! %), à l’intérieur des guillemets français, des tirets d’incise, entre un nombre (jusqu’à 4 chiffres) et son unité (13 kilos) et entre une date et son mois (24 novembre), ainsi qu’entre le mois et l’année (24 novembre 2007), par tranches de trois chiffres pour les nombres de 4 chiffres ou plus, les décimales étant séparées par une virgule (2 345 400,54), avec les symboles mathématiques.

Pour toutes les règles typographiques, se reporter au Lexique des règles typographiques en usage à l’imprimerie nationale.

Citations

Les guillemets à utiliser sont les guillemets français : « … »

En cas de guillemets enchâssés, mettre des guillemets anglais à l’intérieur : « …“…”… »

De même pour éviter les parenthèses enchâssées on mettra des crochets : (… […]…)

Les guillemets, parenthèses, crochets et tirets s’utilisent toujours par paires.

Mettre en exergue les citations longues (de plus de trois lignes environ) : paragraphe distinct, retrait à gauche, taille de police 10.

Mettre des crochets lorsque la citation est coupée ou changée ou un commentaire inséré : « La citation […] est alors à présenter ainsi. »

Mettre en italiques les citations en langue étrangère et en proposer une traduction en français à la suite en romain, dans un paragraphe distinct si la citation est mise en exergue. Si la traduction est publiée, en donner la référence et la faire figurer en bibliographie ; si elle est de l’auteur de l’article, l’indiquer à la suite de la référence bibliographique de l’original ; dans tout autre cas, en préciser la source.

Figures

Les tableaux, graphiques, illustrations, photographies en couleurs ou en noir et blanc sont acceptés.

Les images pourront être au format PNG ou JPG, et feront 480 pixels de large au minimum. Il appartient à l’auteur d’obtenir les autorisations nécessaires pour reproduire tout document déjà publié, auprès du détenteur des droits de reproduction (éditeur ou auteur).

Appels de notes

Les appels de notes sont à placer avant tout signe de ponctuation :

Ceci est un appel de note bien placé1.

Dans le cas d’une citation, l’appel de note sera placé à l’intérieur des guillemets si la note porte sur la citation uniquement.

Si la note porte sur l’ensemble de la phrase, l’appel de note sera placé après le guillemet fermant.

Ne pas faire de renvoi aux notes de bas de page (ex. : voir note 15) car leur numérotation est susceptible de changer. On peut mettre dans ce cas : voir infra ou voir supra.

Notes de bas de page

En notes de bas de page, on trouvera des compléments, précisions sur le texte et non les références bibliographiques.

Quelques règles de présentation :

  • Mettre Ibid. et non id. ou idem lorsque la référence est identique à la précédente : Ibid. : 25.

  • voir et non v.

  • cf. pour « comparer avec »

  • p. et non pp. pour indiquer des numéros de pages

  • § et non §§ ou par. pour indiquer un paragraphe

  • al. pour alinéa

  • et s. et non et suiv.

  • URL des sites internet à vérifier et à présenter ainsi : [https://www.univ-rennes2.fr/], consulté le 7 juillet 2020.

Références bibliographiques

Les références sont à mettre en bibliographie et à présenter selon le modèle des Presses universitaires de Rennes (PUR). Le renvoi à une référence est indiqué dans le corps du texte de cette façon : (Auteur [et al., le cas échéant], date : page ou paragraphe) ; par exemple, (Chesterman, 1994 : 92).

Quelques exemples de présentations de références :

1 Exemple de note de bas de page.

Levrlennadur

Ar Rouz David, 2016, « À la poursuite du diamant glaz : le standard breton », dans Ulrich Ammon, Jeroen Darquennes et Sue Wright (dir.), Standardisierung von Sprachen: Theorie und Praxis / Language standardisation: theory and practice / La standardisation des langues : théorie et pratique, Sociolinguistica, n° 30, Berlin, De Gruyter, p. 145-173.

Bordet Geneviève, 2013, « Brouillage des frontières, rencontres des domaines : quelles conséquences pour l’enseignement de la terminologie et de la traduction spécialisée », ASp, n° 64, [http://asp.revues.org/3851], consulté le 5 août 2016.

Cabré Maria Teresa, 1998, La terminologie. Théorie, méthode et applications, traduit du catalan et adapté par Monique C. Cormier et John Humbley, Paris, Masson et Armand Colin.

Champsaur Caroline et Rochard Michel, 2011, « Ergonomie et appropriation : un exemple d’évolution de l’utilisation des outils de traduction », Traduire, n° 224, p. 7-13, [http://traduire.revues.org/175], consulté le 29 août 2017.

Chesterman Andrew, 1994, « Karl Popper in the translation class », dans Cay Dollerup et Annette Lindegaard (dir.), Teaching translation and interpreting 2. Insights, aims, visions. Papers from the Second Language International Conference Elsinore, 1993, Amsterdam, John Benjamins, p. 89-95.

Collombat Isabelle, 2016, « Doute et négociation : la perception des traducteurs professionnels », Des zones d’incertitudes en traduction, Meta, vol. 61, n° 1, Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, mai, p. 145-164.

Depecker Loïc, 2002, Entre signe et concept. Éléments de terminologie générale, Paris, Presses Sorbonne Nouvelle.

Durieux Christine, 1988, Fondement didactique de la traduction technique, Paris, Didier Érudition.

García de Toro Cristina, 2006, « La traducció juridicoadministrativa entre castellà i català », dans Esther Monzó (dir.), Les plomes de la justícia. La traducció al català dels textos jurídics, L’Hospitalet de Llobregat, Pòrtic, p. 101-109.

Gariépy Julie L., 2013, La collaboration en terminographie. Étude de cas comparée de la terminographie collaborative et de la terminographie classique, thèse de maîtrise dirigée par J. Quirion, soutenue à l’Université d’Ottawa, Ottawa, [http://www.ruor.uottawa.ca/bitstream/10393/23977/1/Gariepy_Julie%20L_2013_these.pdf], consulté le 23 novembre 2016.

Gouadec Daniel, 1997, Terminologie et phraséologie pour traduire : le concordancier du traducteur, Paris, La maison du dictionnaire, Terminoguide, n° 3.

Le Bourdon Cécile, Bratteby Björn, MacLachlan Graham et Swyer Rupert, 2015, Analyse des données sur les pratiques professionnelles des métiers de la traduction en 2015, Paris, SFT, [https://www.sft.fr/clients/sft/telechargements/file_front/56421_2015_Analyse_des_pratiques_professionnelles_en_traduction.pdf], consulté le 29 août 2017.

OTCT (Optimising Translator Training through Collaborative Technical Translation), 2014-2017, Rennes, Université Rennes 2, [https://otct.huma-num.fr/], consulté le 8 février 2022.

Schreiber Michael, 2002, « Austriazismen in der EU: (k)ein Übersetzungsproblem? », Lebende Sprache, n° 4/2002, p. 150-153.

Teul stag

  • CRediT
    (application/vnd.openxmlformats-officedocument.wordprocessingml.document | 48k)

    Description et traduction de la taxonomie CRediT

Notennoù

1 Exemple de note de bas de page.

Gwirioù oberour

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